[Litt. française] Les yeux jaunes des crocodiles de Katherine Pancol
4ème de couverture :
Ce roman se passe à Paris.
Et pourtant on y croise des crocodiles.
Ce roman parle des hommes.
Et des femmes. Celles que nous sommes,
celles que nous voudrions être,
celles que nous ne serons jamais,
celles que nous deviendrons peut-être.
Ce roman est l'histoire d'un mensonge.
Mais aussi une histoire d'amours,
d'amitiés, de trahisons, d'argent, de rêves.
Ce roman est plein de rires et de larmes.
Ce roman, c'est la vie.
Ce roman, c'est ma bonne surprise de la fin d'année passée. Incroyable de me dire qu'il ne m'inspirait absolument pas quand je l'ai acheté, que je ne l'ai mis dans ma liste de lecture (comme bien d'autres ces derniers temps) qu'à contre-coeur et pour la seule raison qu'il fait partie des meilleures ventes, qu'on me demandait donc sans arrêt mon avis dessus. Consciencieuse, je me suis lancée. La 4ème de couverture le résume à la perfection, surtout la dernière phrase.
Ce sont deux soeurs que tout oppose. L'une, Iris, cherche désespérément la reconnaissance tandis que l'autre, Joséphine, qui se rapproche le plus d'un personnage principal, tente de surmonter seule ses difficultés financières et sentimentales. Autour d'elles, gravitent leur famille : l'ex-mari, le beau-père, la mère, les enfants... et leurs amis. Les vies de tout ce petit monde se croisent et s'entremêlent pour s'entraider, se soutenir, s'aimer, s'ignorer, profiter de l'autre, se détester. Katherine Pancol a su saisir et retranscrire d'une manière tellement juste les sentiments de ses personnages que l'on a l'impression de partager leurs quotidiens et leurs relations. On se reconnaît en partie en chacun d'eux, tantôt l'un, tantôt l'autre. C'est un roman vivant et étonnamment positif, qui se dévore sans modération.
J'attends désormais impatiemment la sortie en poche de la suite :
La valse lente des tortues.